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Péripéties papillonnantes!

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5 août 2017

Tu m'énerves Dr. Jekyll

Sérieusement, ça va faire 4 ans qu'on ne s'est pas vu. J'ai eu un enfant seule.  Elle a 2 ans. Tu me relances pourquoi?  Pour fourrer.  Désolée, mais je ne peux plus.  Premièrement, parce que je veux apprendre à ma fille à se respecter et à se faire respecter, je pense que je lui enverrais un drôle de message en acceptant de te revoir. Deuxièmement, parce que moi j'ai envie de faire l'amour, limite de baiser. Dans le respect. J'ai envie que ce soit aussi quand j'en ai envie, pas juste quand toi tu en as envie. Ça ne peut pas être chez moi. et toi ben, tu es encore avec quelqu'un. Pourquoi? Pourquoi dis-tu que je te hante? Tu me disais que tu n'aimais pas ma présence.  En fait, je pense que tu as honte.  Honte d'avoir des fantasmes débridés. Honte d'être attiré par les femmes rondes et bien en chair.Tu ne me trouve pas assez présentable à tes amis et ta famille.

J'ai un enfant. J'ai changé de vie.  Si tu veux vraiment me revoir. Change des choses et accepte mes conditions.  

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3 février 2013

Abstinence 101

Je ne sais à quand remonte mon dernier texte.  Je pense souvent à écrire, sans le faire.  Et pourtant, je ne suis pas seulement abstinente de l'écriture.  Depuis la mi-septembre, je n'ai couché avec aucun mec!  (ni aucune femme, est-ce utile de le préciser?)

Donc, ma dernière baise était avec le Dr. Jekyll.  Excellente, il est vrai.  Mais un moment donné, on se tanne d'être l'amie-moderne qui dépanne en attendant la bonne alors j'ai mis un terme à tout ça.  J'avais également supprimé mon profil de tous les sites de rencontres possibles et imaginables.  J'avais un objectif, un gars connu il y a quelques années.

Je voulais prendre mon temps, je voulais qu'on apprenne à se connaître et tout.  J'avais confiance en cette histoire, et je ne voulais surtout pas coucher à droite et à gauche en attendant que ça puisse être sérieux avec lui.

Bon, ça ne semble pas vouloir évoluer...(je ne comprends rien aux hommes) mais je suis encore abstinente à l'heure où je vous parle.

Pourquoi? Je crois que je suis un peu dégoûtée du sexe. Du sexe pour du sexe, du sexe sans sentiment, du sexe machinal à la recherche de l'orgasme à tout prix, sans affection, sans douceur, sans regard.  Je veux faire l'amour, je ne veux pas baiser.

Une fois, le Dr. Jekyll avait dit qu'il faisait l'amour, qu'il baisait ou qu'il fourrait.  Que c'était très différent.  Je préfère ne pas savoir dans quelle catégorie nos rapports entraient pour lui.  

Meilleure amie a eu plusieurs rencontres dans les derniers mois, elle a forniqué à souhait et finalement a rencontré quelqu'un qui semble bien selon ce qu'elle m'en a dit (je ne l'ai pas rencontré). Elle se considère en couple à nouveau.

Alors poussée par la pression sociale et par l'idée que peut-être je devrais me réouvrir aux rencontres, je me suis brièvement réinscrite sur des sites.  J'ai eu un succès mitigé.  Pourquoi?  Parce que contrairement à Meilleure amie, je ne laissait pas la porte ouverte aux histoires d'un soir.  J'affichais mes couleurs: je veux du sérieux, un gars qui veut des enfants, etc.  Pas très vendeur pour la clientèle masculine des sites de rencontres...

Bon, peut-être que je pourrais rencontrer pour du sexe et finalement que ça se révèle sérieux, mais...je répète que je ne veux pas baiser, je veux faire l'amour.  Et pour faire l'amour, on doit avoir appris à connaître la personne avant de passer dans la couchette.

Donc, j'ai tiré la plug.  Je me sens beaucoup mieux depuis les quelques mois où je ne suis sur aucun site.  Le hic c'est cette impression que l'on me met la pression.

D'un côté, Meilleure amie qui me laisse entendre que si je reste célibataire, je ne devrai pas me plaindre que les gens en couple m'excluent parce qu'ils ont un autre style de vie.  Et de l'autre, ma famille qui semble prendre pour acquis que je vais restée célibataire et donc disponible pour rendre service et prendre soin d'eux dans leurs vieux jours...

Je serais supposée faire quoi? Renoncer à ce que je veux pour faire plaisir ou pour correspondre à ce dont on s'attend de moi la société?

17 août 2012

Rêver, rêvasser, anticiper, fantasmer...

Tous des synonymes?  Pas tout-à-fait, mais quand même.  C'est à mon avis plusieurs niveaux de la même chose.

On commence par rêver.  On est seule et on s'imagine rencontrer l'homme de nos rêves.  L'homme qui nous remarquerait du premier regard, ou qui à tout le moins, en découvrant notre intérêt pour lui ferait: wow!  Et là, pas d'autre choix que chercher à se revoir...

Ensuite, on se met à rêvasser.  Pourquoi?  Parce qu'on a trouvé une personne au sujet de qui rêvasser.  On se raconte des histoires, des belles histoires.  On s'imagine de belles répliques, comment on va le regarder, on espère que la chimie opèrera... Mais sans que nos pensées soient précises, un sourire s'affiche sur nos lèvres, et on veut multiplier les occasions de penser à cette personne.

Puis vient l'anticipation, le rendez-vous est fixé. L'anticipation ressemble à la rêvasserie, mais il y a une part plus terre-à-terre.  On prévoit des choses, ce qu'on va mettre, ce qu'on va dire, ce qu'on fera ou ne fera pas...

Et viendront les fantasmes... vous savez quand on fini par connaître un peu mieux la personne, qu'on l'a observé bien en face ou subtilement, quand on a retenu les courbes de son corps et qu'on se dit qu'on y serait bien, quand on a regarder sa bouche pendant qu'il nous parlait et qu'on a dont envie de l'embrasser, quand ses mains se sont exprimées autant que les mots et qu'on souhaite qu'elles nous touchent...

J'en suis à mi-chemin entre la rêverie et la rêvasserie.  Reste à voir si la suite viendra, ce n'est malheureusement pas garanti.  Toutefois, je me rends bien compte que nous prenons de moins en moins le temps de rêvasser.  Rêvasser, est-ce sain ou non?  En tout cas, ça permet de prendre son temps et de savourer les débuts...

16 août 2012

Comme des enfants

Meilleure amie s'est fait un amoureux.  L'autre jour, troublée, elle m'avoue que tout le monde parle en bébé dans sa famille.  Ils s'adressent entre eux comme s'ils parlaient à de jeunes enfants, font la baboune et autres moues enfantines, etc.

Et moi en les observant, Meilleure amie et son mec, je me suis vite rendue compte qu'elle aussi avait attrapé cette maladie.

Hum...

Ce n'est pas rare que l'on voit des couples se parler un peu gaga.  La fille prend une tite voix et a un air qui veut se faire plaindre et le gars embarque automatiquement dans le panneau en voulant protéger et entourer sa belle. J'ai souvent croisé des couples comme ça, même parmi des gens d'âge mur.  Et le plus drôle c'est que d'un point de vue extérieur, on trouve rarement ça craquant.  Meilleure amie était la première à trouver ses couples totalement mièvres!

Alors je me suis forcée à faire l'exercice de m'auto-examiner.  Ai-je déjà parler en bébé à un de mes amoureux?

Oh.oh.

Peut-être bien?

En fait, pour être totalement honnête, les seules fois que j'ai eu un ton enfantin avec l'un ou l'autres de ma vie, j'étais en position horizontale.  J'étais donc dans une position de profonde intimité.  Je ne nierai pas que Chose avait la fâcheuse habitude de me parler comme si j'étais une enfant, quand je lui racontais mes déboires, il me lançait un:«Pauve tite!» aussitôt!  Grrrr... (mauvais souvenir)

Donc, quand je suis en position verticale (assise, debout...) je parle toujours d'égale à égale à mes amoureux.  Je suis une adulte qui parle en adulte à un adulte.

Est alors apparue une question?  Est-ce pour cette raison que je suis toujours célibataire?  Parce que je ne vais pas assez chercher le côté mâle dominant et protecteur chez mes hommes? Ouf!  Je n'ai aucun souvenir d'avoir fait mon enfant avec Dr. Jekyll par exemple...

Si j'étais moins scrupuleuse, je crois que je tenterais l'expérience d'un point de vue totalement scientifique pour vérifier cette hypothèse.  Je testerais ça sur quelques hommes et en ferais un rapport... Je ne le ferai pas.

16 août 2012

Sauvage comme dans difficile à apprivoiser

Il y a quelques mois, j'ai rencontré Chose.  (finalement, il s'est avéré que ce n'était pas une bonne chose)  Rapidement, notre relation a pris une tournure sérieuse pour toutes sortes de raisons dont je ne parlerait pas plus tard.  Deux semaines, après l'avoir connu, Meilleure amie a rencontré un gars qui allait devenir son copain.  Comme moi, il y avait de l'eau dans le gaz, j'ai pris le temps et mis de l'énergie pour faire fonctionner cette relation, bien qu'il aurait peut-être été préférable que ça se termine là.

Un moment donné, on discutait Meilleure amie et moi.  Le fait de me voir démarrer cette relation qui semblait vouloir marcher, l'avait influencé à rencontrer des gars parce que la perspective d'être célibataire et de me voir en couple ne l'enchantait pas.  De mon côté, la même chose s'est produite, redevenir célibataire alors que Meilleure amie serait en couple ne me tentait pas non plus.  Bref...on s'est influencé l'une l'autre.

Je m'étais alors questionnée sur la pression que l'on nous met à nous célibataire comme si la seule voix possible était le couple.  À moins d'être un moine ou une nonne, ou d'être asexué...comment peut-on vivre sereinement en étant célibataire? 

Depuis que je suis redevenue célibataire, je me sens perplexe.  Souvent on me dit:«Tu vas voir, tu vas trouver le tien.» Je vois tout le monde autour de moi, être en couple, se mettre en couple...sauf...moi!  Pas que je ne veuilles pas, mais est-ce que je le veux?  Évidement, après une rupture, il est sage de prendre un recul et de prendre son temps avant de se «ré-embarquer».  Ce que j'ai fait.  Ce que je fais encore. 

Dans mes relations avec les hommes, particulièrement avec Man in the rain, je n'ai pas connu de relation dite conventionnelle ou normale.  Toujours libre de mes allées et venues et l'homme aussi.  Fidèle mais pas de sentiment de possession...  Nous avons même envisagé, Man in the rain et moi d'avoir un enfant sans habiter ensembles.  Bref, à ce moment-là, je regardais ma situation en me disant que j'allais en quelques sortes créer un nouveau modèle de couple et de famille dans lequel je me sentirais bien.

Disons aussi que dans ma famille, il n'est pas rare que les couples fassent chambre à part.

Par la suite, dans mes rencontres et discussions avec d'autres hommes, j'avais tendance à être réfractaire aux hommes trop prenant, trop coulant, trop dépendant.  Je deviens mal-à-l'aise aussitôt qu'on est trop gentil avec moi et qu'il n'y a pas de raison à cela. Si je fais allusions par exemple à un homme que je n'ai pas rencontré, avec qui j'ai discuté seulement 2 fois par messenger et qui finit par m'envoyer un message pour me dire que je lui manque... Ça me fait peur, j'ai juste envie de prendre mes jambes à mon cou!

Au début de ma relation avec Chose, j'ai pris peur, je lui ai dit, et il est resté. Il me disait qu'il avait l'impression que je vallais vraiment la peine d'être patient.  Moi je lui avais fait comprendre que j'avais besoin d'être apprivoiser, qu'en général je préfère être celle qui séduit que celle qui se fait séduire (je parle au début).  Bon au bout de 2 mois, sa patience a eu ses limites de toute évidence. Mais il faut dire qu'il me trouvait distante, trop indépendante (ce n'était pas avec lui que je faisais des activités par exemple), etc. Souvent, Meilleure amie, qui elle ne pouvait se passer de son homme, qui aurait passer tout son temps avec lui, qui ne se tannait pas de le voir, et qui ne ressentait pas le besoin d'avoir de moment de solitude, me regardait d'un drôle d'air. Découragée, elle me lançait des commentaires.

Aujourd'hui, j'avoue ne pas être capable de dire si j'ai envie d'être en couple ou si c'est surtout la pression d'être la seule célibataire dans mon entourage qui me fait l'envisager.  J'ai l'impression qu'on attend de moi que je me mette en couple avec un gars et que je fasse des projets de vie et de famille avec lui.  Moi j'ai toujours faire mes projets de vie et de famille toute seule...

Meilleure amie : «Tu es une vraie sauvage.»

Vous dire comme j'ai reçu ce commentaire!  Moi sauvage?  Je ne me sens pas anti-sociale, j'ai juste besoin de moments de solitude...

«Tu as toujours fait les choses à ta manière. Tu vas trouver une façon d'être en couple qui te ressembre.»

Intéressant, non?  Y a-t-il des hommes qui recherchent la même choses que moi dans la salle?

«D'où le terme sauvage, quelqu'un qui vit sa liberté, qui ne s'apprivoise pas si facilement»

Voilà donc comment me décrit ma meilleure amie!  Et elle a bien raison!

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24 juillet 2012

Changer un souvenir

Je vous ai raconté la dernière fois que j'ai couché avec un homme dans mon texte «La cassure.».  C'était avec Chose, je pensais qu'on s'aimait et que faire l'amour ensembles était un bel acte pas une course à la jouissance.  Depuis cette «baise» douloureuse, je n'avais pas eu d'autres relations sexuelles.  Plus le temps passait, plus j'avais envie de coucher avec quelqu'un d'autre pour que le souvenir de ma dernière fois ne soit plus aussi mauvais.  Mais trouver une autre homme qui m'aurait aidé à changer ce mauvais souvenir par un nouveau bon souvenir n'est pas nécessairement une chose aisée.

J'ai fait appel à des anciens amants, mais ils semblent tous casés maintenant.  Je parle du Dr Jekyll et de Man in the rain.    Alors j'ai un peu renoncé.  Par contre, l'idée de me remettre en couple, de me lancer dans une relation sérieuse maintenant ne me plaisait pas.  Je n'étais pas prête et je me demande sérieusement si je suis fait pour ça.  Mais aller dans un bar et partir avec le premier venu...non merci!

Encore sur les sites de rencontres, j'ai créée un profil où je dis rechercher quelque chose de léger. J'ai approché quelques hommes et quelques hommes m'ont approché.  La semaine dernière, un super beau mec plus jeune que moi m'a demandé.  J'étais vraiment surprise.  On a tendance à ne chercher que dans notre catégorie.  Je parle d'âge et d'aspect physique.  Je le trouvais vraiment très beau, mince et musclé même.  Tout pour me surprendre qu'il me demande.  Je me suis presque demandée si ce n'était pas un tour qu'on me jouait!

Mais non, nous nous sommes rencontrés, nous avons parlés et nous avons passé un bon moment ensembles.

Sans savoir vraiment le pourquoi j'étais «si facile», il a été parfait pour me faire oublier ce mauvais épisode de ma vie.  Il a été parfait pour remplacer mes souvenirs.

Si on se revoit tant mieux, sinon tant pis.  Je sais qu'il ne sera jamais un amoureux, seulement un amant si on devait se revoir et c'est bien correct comme ça!

24 juillet 2012

Bonne fête Man in the rain.

Cette chanson est parfaite pour toi.  J'espère juste pouvoir rencontrer un jour un homme que j'aimerai autant que je t'ai aimé. Qui me comblera comme tu m'as comblé.  

 

http://www.youtube.com/watch?v=V9bjWlFXCYM

9 juillet 2012

La cassure.

Une femme s'enroule dans les couvertures, l'homme dans le lit à côté d'elle semble pourtant déterminé à ne pas la laisser se rendormir.  Il commence à la caresser, il lui lance de coquins regards qui la font sourire.  Bien qu'elle soit rompue de fatigue et qu'elle ait mal partout, elle cède au bout de quelques arguments convaincants.  

Il ne se sent bien que dans cette position, inconfortable pour elle, voir même douloureuse.  Elle l'accepte bien en général, elle peut réussir à aller chercher son plaisir pareil.  Mais cette fois-ci, tout le temps qu'il y met, et tout le poids qu'elle doit supporter la fond trop souffrir, il n'y a plus de plaisir.  A.U.C.U.N.  Ça fait si mal qu'elle profite d'une accalmie pour lui demander d'arrêter.  Non pas qu'elle veuille le priver de son plaisir, mais elle voudrait au moins changer de position.  Elle lui explique qu'elle a trop mal.  Il se retire. Il lui crie par la tête.  Il se couche à côté d'elle dans un geste rageur.

Elle se tasse dans son côté de lit.  Elle attend de voir, se demande si elle devrait faire ou dire quelque chose.  L'atmosphère est lourde, elle est à couper au couteau.  Elle se dit en elle-même, et elle a raison, que ça devrait être lui qui devrait parler et non elle.  Mais il ne fait aucun geste et n'a aucune parole pour la réconforter.  Les larmes coulent sur ses joues.  Elle s'asseoit sur le bord du lit, aucune réaction de sa part à lui.  Elle prend ses vêtements et se dirige vers la salle de bain.  Elle se regarde dans le miroir, se jette de l'eau au visage, replace ses cheveux.  Elle attend qu'il pose un geste.  R.I.E.N.  Elle s'habille et sort de la salle de bain.  Elle va prendre son sac et ses clés.  Elle ne trouve pas son téléphone.  Elle l'avait bien mis là tout-à-l'heure.  Elle est énervée et pleure de plus belle.  Elle est maintenant déterminée à partir et ne veut pas le voir arriver dans la cuisine.  Elle réussit à le trouver.  Elle sort rapidement.

Elle est sous le choc de ce qui vient de se passer et conduit nerveusement jusqu'à chez elle.  Une fois arrivée elle marche dans la rue jusqu'à sa porte, elle se sent sale.  Comme une belle grosse merde.

Elle regarde son téléphone sans arrêt.  Il n'a pas appelé, n'a pas texté.  Elle décide de fermer son téléphone.  Il y a une colère en elle.  Comment a-t-il pu réagir ainsi?  Il est son amoureux, il devrait voir l'acte de faire l'amour comme un acte qui se fait à deux, où les deux doivent y prendre plaisir.

Elle parle un peu à sa meilleure amie, qui est aussi surprise qu'elle de la réaction du monsieur.  Elle finit par s'endormir.

À son réveil, elle rallume son cellulaire, et elle n'a pas eu d'appel ni de message de sa part. 

Ce ne sera que 5 heures plus tard qu'elle aura de ses nouvelles.  Il s'excuse d'une manière froide et cavalière.  Il lui dit qu'il ne s'excuse pas d'avoir été fâché mais d'avoir réagit comme ça.  C'est quoi la différence?  «Ben n'importe qui qui n'aurait pas pu finir serait fâché.»  Euh...non?!?! N'importe qui qui aurait fait mal à sa copine en faisant l'amour se serait senti mal et se serait excusé sur le fait.

Quelques jours plus tard, c'était fini entre eux.

5 juillet 2012

Des paroles réalistes...

2 juillet 2012

Je m'ennuie de lui..

Et je parle de Man in the rain et non de Chose.  En fait, j'ai tendance à penser à lui souvent après un nouvel échec amoureux, et je dois l'avouer, j'ai tendance à comparer toutes mes relations avec la relation que j'ai eu avec lui.  Au risque de me répéter, il a été le grand amour de ma vie, jusqu'à maintenant inégalé.  

J'ai toutefois réalisé qu'il y a six ans, nous passions notre première journée complète ensembles à parler. Nous étions au travail.  On a même soupé ensemble, avant qu'il réalise qu'il devait rentrer.  Il est parti, mais s'est retourné et m'a regardé par la fenêtre.  Il y avait un tel regard, j'y ai lu un grand regret de me quitter.

Il y a un an, nous nous sommes vu, dans ces jours-ci.  Il n'allait pas super bien, il était très stressé, pourtant, on s'est réconforté, on s'est fait du bien.

Je suis très tentée de communiquer avec lui en ce moment.  J'ai envie de me coller, de me faire coller, et de me faire complimenter.  Cet homme a un tel don pour me calmer.

C'est à suivre...

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